Le monde, nous pouvons le reconstruire avec de "si" || PV Yuka Barma

Je devais avoir rendez-vous avec Oz ici, pour lui raconter certaine chose sur la famille Nightray, pour qu'il prenne l'air aussi et u'i redécouvre les joies du marché. Pour lui, ça fait une éternité entière qu'il n'est pas venu ici. Mais pour une raison que j'igniore, il vient pas. Si je pars, il pourrait arriver, alors j'attends. Je ne peux laisser mon Jeune Maître tout seul.

Je vois des enfants courir en rigolant, sautillant à cloche-pied par moment. Une femme, que je pense être leur mère, les appelle gentillement, leur tendant quelque chose.
Un sourire étend un peu mes lèvres. Ils ont de la chance ses petits. Moi aussi, j'aurais aimé avoir une mère, et je suppose que Vincent aussi. Passant une main dans mes cheveux noir, je me demande comment mes parents été. Les avais-je connus ou avais-je été déposé dans un orphelinat avant d'être chez les Bezarius ? Peut-être que si je me souvenais, ce serait ben plus facil.

La foule commence à se faire grande et envayssante. Retenant un jurrons je vais vers la fontaine de la place, où il n'y étrangement personne ... du moins, je n'y vois qu'une femme aux longs cheveux blonds asise de dos regardait un groupe d'enfant jouer à la marelle. Ils sont trois, deux garçon et une fillette.
Je m'avance un peu, et j'arrive à voir ses yeux. Belus. Bleu océan, bleu profond.Son regard semble triste, nostalgique.
Son visage me rappelle quelque chose, je ne saurais dire quoi. Peut-être que sa voix m'en dirait un peu plus. Rien que de voir sa magnique robe blanche et noire m'indique qu'elle est forcément de classe bourgoise. J'ai forcément dû la voir quelque part lors d'un ball ou d'une party organiser par des famille de haute classe sociale. J'apperçois le même maidaillon que moi. Elle fait partie de Pandora.

Mes jambes me conduisent sans bruit vers elle. Et mon corps me fait m'assoir à côté.
Elle tourne son visage vers moi et un déclic me traverse : Yuka Barma.

• C'est ... rare de vous rencontrer ici, Lady Barma. dis-je d'une voix clair, la faisant sourire

• Vous aussi.... Messire Gilbert

Petite voix douce, tremblante, incertaine ... cela fait vraiment longtemps que je ne l'avais plus entendu ! Très longtemps même, j'ai presque l'impression que la sonorité de sa voix m'a horriblement manqué.

• Vous ne devait pas aller dans les bas quartiers Lady Barma, j'y habite ...

C'était assez étrange de dire cela comme ça. Je fais partie d'une des quatres grandes familles ducales et pourtant, j'habite dans un appartement miteux, petit, lugubre. Je ne sais pas si elle est au courant ou non, autant être direct et clair. Je n'aime pas mentir.

• Je viens donc faire les courses assez souvent ici. continuai-je mettant une main dans ma poche, Peut-être que vous venez ici régulierement, mais nous ne nous voyons pas.

Oui, c'est surement ça ! Ou alors, elle ne sortait pas du tout de chez elle. Mais je ne pouvait emettre cette hypothèse à voix haute ! Dire ce que je pensais à une femme n'était pas mon genre -je ne le fais même pas avec un homme alors ...- et surtout, très humiliant pour elle.
J'ai alors réalisé que ce devait bien être la première fois que je me retrouvé en tête à tête avec elle, sans personne à côté de moi ou quelqu'un avec elle, et surtout, que nous débutions une conversation. A Pandora, nous la connaissons tous pour son air absente, maladroite, mélancolique et triste. Mais en plein combat, on dirait une toute autre personne. Un frémissement pacourut ma colone vertébrale.

Je sortis de ma poche une cigarette que j'alluma avecun briquet. J'ignorais si elle supportait ou non l'ordeur de la fumée du tabc, j'ignorais si elle était pour ou contre cette drogue qui tue vos poumons, mais je ne pue me retenir d'une fumait au moins une en ce moment. Dans un soupir, je fixais son regard avant de le suivre sur le enfants. Amour. Douceur. Protection. C'est ce qu'on pouvait y lire, du moins je suppose.
Les gamins jouaient avec un balle et se la passait à tour de rôle, en ruaint. Je ressentis un effet de nostalgie un moi.

La cigarette entre mes deux doigts, je la laissais se consummer, sans plus y prêter attention. Au fond de moi, je me demandais si je la connaissais d'avant ou non. Si elle, elle me connaissait et avant vécu avec moi durant mon passé oublier ...

• Sinon, Lady Barma, continuai-je, Que faites-vous ici ?